CALVIN ✘ i'm on the corner waiting for a light to come on.

❝ Calvin Arthur Georgtown ❞
FEAT. PAUL WESLEY

tumblr @baby gone.
Il a été adopté à l'age dix années par un couple de médecins réputés de la ville de Roswell ▽ Lorsqu'il est sorti des incubateurs, il a été le seul à se réveiller laissant derrière lui une autre personne ▽ Etant gamin il s'est vite mise en situation afin de dialoguer avec autrui tout en taisant sa véritable nature ▽ Il possède un grand sens critique que cela soit d'une situation ou d'un simple sujet de conversation ▽ Il mange très souvent du céléri cru qu'il passe en revue via le tabasco ▽ Sa nature lui offre le don de télékinésie et de transformation moléculaire. Le premier lui pose quelques soucis d'autant plus lorsqu'il est aveuglé par la colère ▽ Il écoute toutes sortes de variétés de musique cela allant du cviolon classique aux ondulations rythmées de la pop rock (...) ▽ Il ne fume pas du tout, mais bois pas mal de caféine pour combler ses insomnies. Une drole vision du sommeil mais il ne peut s'en défaire ▽ Il possède un labrador couleur des sables depuis trois années désormais. Cette boule de poils est un véritable petit fripon prénommé Moka ▽ Il est très sérieux en ce qui concerne son travail, et certaines de ses élèves ne cessent de l'aduler. Un comportement qui parfois le gêne un peu ▽ Il ne sait pas de quoi sera forger demain mais il se questionne beaucoup sur son potentiel retour sur sa planète d'origine ▽ A ce qu'il sait pour titre d'information, il aurait été l'un des plus plus grand maitre en matière médicinale dans sa vie antérieure si on peut le dire ainsi. Lui n'en croit pas un traitre mot bien évidement ▽ Il porte toujours la chevalière de son père adoptif à son annulaire, un moyen de lui rappeler qu'il fait partie de cette famille ▽ Il passe énormément de temps à la librairie de la ville pour son plaisir personnel mais également pour la préparation de ses cours ▽ Il pratique beaucoup de sport afin de décompresser, mais aussi de se changer les idées ▽ Il porte des lunettes de vue lorsqu'il dispense ses cours de littérature ▽ C'est un gourmand dans certains sens du terme et il a adore cuisiner des petits plats et essayer certaines recettes (...)

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❝ my name is bryan ? ❞
CARTE D'IDENTITÉ, A TOUJOURS AVOIR AVEC SOIS EN CAS DE CONTRÔLE.
❝ NOM/PRÉNOMS ❞ : Très véridiquement parlant je ne suis pas du genre à toujours parler de moi et encore moins ce qui relève des informations privées mais puisque vous insistez autant le faire dans la forme et la bonne humeur. En ce qui concerne mes origines tout cela est un peu flou et puis il vaudrait peut être mieux se rapporter aux origines de mes parents adoptifs que ceux biologiques, sinon les frayeurs seraient au menu tout au long de votre interrogatoire. D'après ce que j'en sais à l'heure actuelle des choses mes grands parents demeuraient tous deux américains de pure souche au contraire de mon père qui se veit britannique de naissance d'où mon patronyme, à savoir Georgtown. Quand à ma première appellation Calvin elle vient tout droit de celle qui m'a servit de figure maternelle. La vision des choses est compliqué en réalite. C'est le prénom qu'elle a prononcée en me trouvant dans le désert et depuis tout le monde me nomme ainsi. Pour le second prénom, Arthur il s'inscrit dans la lignée des Georgtown depuis des générations point final à l'anecdote. ❝ SURNOMS ❞ : Calvin est bien assez court pour avoir un diminutif et c'est bien suffisant croyez moi. La plupart de mon entourage s'aventure à me surnommer 'Cal' ou encore Klein. Ceux là ne sont jamais sortis indemne de leur avenure. Bien sur cela est à prendre à la plaisanterie bien évidement. Seulement je n'apprécie pas les surnoms et encore moins les appellations consistant à paraitre affectueuse ou pas. ❝ AGE ❞ : Vingt-années si l'on en croit ma carte d'identité et qui irait contre après tout. ❝ DATE ET LIEU DE NAISSANCE ❞ : Un certain treize juillet dans un désert au beau milieu des Etats Unis non loin de Roswell. La bonne blague passons à autres choses vous voulez bien ?! ❝ ORIGINE/NATIONALITÉ ❞ : Les origines très franchement on s'en contre fiche, ce n'est pas réellement cela qui fonde l'homme mais plutot sa propre conscience au travers de ses expériences ni plus ni moins. ❝ MÉTIER ❞ :Aussi lointain que remontent mes souvenirs, mon choix s'est porté sur l'enseignement la première fois que mes yeux se sont posés sur l'ouvrage de Kipling. En parcourant ses premières lignes, puis les premières pages de ce bouquin j'ai tout de suite su de quoi ma vie serait forgée en matière de carrière professionnelle. Depuis, mes études m'ont menées tout droit à devenir professeur en littérature au lycée de Roswell. Bien mince espérance mais pour le moment je m'y conforte pas trop mal et la vie est tranquille du moins pour le moment. ❝ ÉTAT CIVIL❞ : Célibataire. J'ai bien du mal à concevoir une existence partagée bien que la vie humaine aspire à vivre pleinement son existence. La vie sous toutes ses coutures demeure compliquée, mais si c'est pour y mêler une personne que l'on apprécie à souffrir au final, alors je préfère m'abstenir. Le sentiment est une perle qui ne demande qu'à s'épanouir librement au gré du vent du hasard. Seulement lorsqu'on vient d'un quelque part étrange on ne se le permettre et pour le moment c'est pas plus mal. L'amitié prime sur tout le reste. ❝ GROUPE ❞ : Si vous n'avez toujours pas deviné, je ne peux pas le faire pour vous malheureusement. L'indice de la légende touristique de Roswell devrait vous y aider.

et toi tu crois au extraterrestre ? Le genre de question qui se passe toujours de réponses. Personnellement pensait ce que vous voulez, j'ai d'autres chats à fouettés, des copies à corriger et très sincèrement en tant qu'habitants de Roswell on prend très vite le pli face aux nouvelles découvertes. et le neuf juillet mille neuf cent quarante sept à ton avis c'est quoi qui est tombé du ciel ? Un vaisseau, des petites hommes verts et un million de dollars. Non mais lisez un peu les journeaux au lieu de poser des questions en masse. Chacun voit midi à sa porte après tout. si les extraterrestres existaient tu réagirais comment ? Le jour où j'aurais fait une rencontre du troisième type j'écrirai certainement un manuscrit et vous ne serez pas les premiers prévenus.

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❝ behind the screen ❞
ET EN VRAIS TU ES QUI ? HOMME/FEMME/BLOND/BRUN/ROUX?.
Spoiler:

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✘I'm on the corner waiting for a light to come on, on to us nobody knows, nobody sees, nobody but me.

Qui ne connait pas les songes de la vérité, ne sais pas de quoi est capable l’autrui. Celui que l’on pense connaitre mais qui finit par déserté son prochain parce qu’il ne peut plus se regarder en face de son miroir. Allongé sur le dos, les pupilles fatiguées, la conscience voguant vers un vide étrange, il laissa doucement mais certainement ses prunelles se fermer sous la lourdeur d’une fatigue qu’il ne contrôlait plus. Voilà bien des jours que son subconscient prenait le dessus sur sa conscience en éveille et cette dernière demeurait bien plus forte que cela ne pouvait l’y paraitre. Alors en un souffle la présence de l’inconnu vint encore embrumait ses rêves illusoires. Elle avait le don de lui rappeler qu’il devait se souvenir de sa vie dite antérieure, celle qu’il réfutait au plus profond de son cœur. Las de chercher des informations sur les habitants de sa planète, Calvin se plaisait de plus en plus à se satisfaire de cette existence dite humaine et agréable. La jeune femme ricanait encore de son rire cristallin et ironiquement étrange. « Tu as des espérances bien définies à ce que je vois. Il serait fort dommage de les voir virer en éclats tu ne crois pas ? ». L’étrangère qui peuplait ses pensées s’avançait un peu plus de lui tout en faisait glisser sa main le long de son bras musclé de son corps. Elle rigolait toujours de la même manière et semblait fort à l’aise dans l’environnement qu’elle obstruait toute à sa guise, sans aucune gêne, ni aucuns remords. Elle avait l’instinct de toujours savoir ce qui pourrait le rendre hostile, ce qui pouvait l’intéresser ou non, du moins c’était ce que son raisonnement laissait présager. En toute vérité elle n’était pas si inconnue à son existence, mais voilà bientôt longtemps que le Georgtown l’avait occulté. Elle s’appelait Isobel et loin de paraitre l’mage de l’innocence même elle faisait partie de ceux prédestinés à exécuter une mission. Alors avec une nonchalance insultante, le brun aux reflets de cuivre se contenta d’envoyer valser le bras de la dénommée Isobel. Cette dernière grimaça légèrement face à la déception qu’elle venait de subir. « Toujours un brin caractériel à ce que je vois, tes stratagèmes les plus explicites semblent erronés apparemment. ». Sa voix de velours laissa échappa une note sarcastique alors qu’il se relevait derechef pour s’éloigner sans se retourner. Alors les bribes de l’imagination se dissipèrent pour laisser le présent reprendre ses droits naturels. En un sursaut, il se réveilla tout à trac quelques peu la moue embrouillée. Il soupira en geste peu motivé lorsqu’il entendit la radio de Roswell lui indiquait l’heure matinale de reprendre son existence de parfait mortel - généralement s’entend -. Un aboiement coutumier se fit dès lors entendre, puis la boule de poils de la maisonnée sauta sur le lit de son maitre, la langue pendante pour lui montrer combien il était heureux de voir ce dernier debout. Affectueusement, Calvin le caressa sur le sommet du crane, puis esquissa dans un fin sourire. « Je sais espèce de fripon, mais pour le moment c’est la douche qui m’appelle. ». Il rigola une énième fois avant de disparaitre dans la salle de bain. L’eau chaude qui s’écoulait le fit brièvement passer ses maux de crane, qui il fallait il le dire se faisait de plus en plus récurent ces derniers temps. Quelques minutes plus tard, alors qu’il enroulait une serviette autour de sa taille, il fronça légèrement les sourcils lorsque son cellulaire retentit d’aussi bonne heure. Impossible que Bamby soit aussi matinale. Cependant il ne fut guère surpris lorsque le cadran de son portable afficha l’identité de Ruby. A bibliothécaire d’ami avait toujours une longueur d’avance lorsqu’elle était au boulot. « Je sais, je sais il est tôt, mais je voulais savoir si ça tenais toujours pour la soirée vidéo de ce soir ? ». Il arqua un sourcil légèrement amusé par l’interrogation de son interlocutrice et répliqua doucement. « Bien sur, pourquoi ? ». « Pour rien je voulais juste m’en assurer. ». « Oh okay alors … ». Il n’eu pas le temps de poursuivre sa phrase qu’elle mit fin à la conversation, seulement elle avait mal raccrochée. La cause était la suivante : elle avait des clients sur les bras. Un sourire moqueur se dessina sur ses lèvres, puis il raccrocha son téléphone tout en jetant une œillade rapide à l’horloge de la cuisine. Conclusion il n’était pas en avance pour sa première heure de cours. (…) Claquant la portière de sa voiture, il en profita pour prendre le sac de son ordinateur portable sur son épaule, et se dirigea en direction du lycée de la ville, toujours un café du Crashdown à la main. On ne refaisait pas vraiment les bonnes vieilles habitudes après tout. Alors qu’il marchait dans l’un des nombreux couloirs encore quelques peu désert du bâtiment scolaire, il entendit une personne jurer tout en pleurant à petit sanglots. Des sanglots de rage, mais également de désespoirs. Il reconnut immédiatement l’une de ses élèves qui accoudée au rebord du lavabo des toilettes des filles semblait au bord de ses limites. Laissant ses affaires choir devant la porte, Calvin entra en remarquant que les glaces et les portes des sanitaires étaient brisés ou en d’autres termes dans un sale état. L’adolescente laissa les larmes perlaient sur ses joues, puis se recula contre le mur où elle se laissa tomber complètement à bout. « Qu’est ce qu’il m’arrive à la fin ? ». Murmura-t-elle entre deux spasmes. Elle laissa sa tête reposait sur ses deux genoux. Doucement le professeur s’abaissa à la hauteur, en déposant prudemment sa main sur les siennes. « Lennon, il faut que tu m’expliques ce qui est arrivé ? ». Lui avait-il demandé sur intonation de compréhension et de confiance à la fois. Relevant son regard sur l’américain, Lennon comprit qu’elle n’avait pas d’autres choix et elle semblait éprouver un certain lien de franchise envers le jeune homme. Dès lors, la blondinette lui expliqua qu’elle pouvait d’une manière tout à fait incompréhensible déplacer des objets par sa propre volonté. Alors sans trop de déduction de plus, Calvin comprit qu’elle aussi faisait partie de ceux qu’on appelait les petits hommes verts. Elle était dans un foyer, après avoir fréquentée de nombreuses familles d’accueils mais sans grand succès réels. Derechef, Calvin lui propose alors de lui venir en aide, tout en lui révélant également son identité et les caractéristiques que cela imposaient. « Ca va aller, je te le promets. ». Le soir venu, l’extraterrestre dû se rendre à l’évidence qu’il devait annuler son rendez vous avec la jolie libraire. Il regrettait réellement de ne pas la voir ce soir là, mais il devait rassurer Lennon, car contrairement à lui elle était encore dans un âge où les changements ne sont pas toujours les bienvenus.

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✘For every step in any walk, any town of any thought i'll be your guide. For every street of any scene, any place you've never been i'll be your guide.

« Sérieusement Calvin tu devrais songer à une seule chose : pourquoi nous ? La réponse est simplement parce que nous sommes des exceptions. ». Sa meilleure amie avait toujours le don pour faire rire son entourage mais également pour avoir le dernier mot. La queue de billard dans la main, le jeune homme de vingt-cinq années venaient de gagner un pari contre la jolie blonde. « J’avais une chance sur deux de gagner ma belle, tu as perdue alors tu va te motiver pour ces cours par correspondance. ». « Ben voyons. ». Elle soupira avant le taper amicalement sur son épaule. Ces deux là avaient toujours eux des rapports amicaux et fraternels dépassant la simplement annonce du mot. Calvin veillée sur elle comme l’aurait fait un frangin ou encore un ami proche. C’était ce qu’ils demeuraient des meilleurs amis tout simplement, des gens de la même race, de la même faculté qui avait dû faire un bout de chemin durant quelques années séparées. Le brun était sortit quelques années auparavant de son incubateur contrairement à Bamby. Ils rigolèrent d’un commun accord lorsque la blonde lui fit remarquer la présence de la Williamson un peu plus loin à l’une des nombreuses tables du bar. « C’est pas ton humaine de libraire là bas ? ». Derechef, et dans un mouvement instinctif le jeune homme se contenta de baisser le regard sur les boules du billard afin d’en ranger après utilisation. Ruby était bien présente, parmi tout un tas de gens mais pourtant ces derniers temps il avait un mal fou à comprendre sa réaction de le fuir, comme s’il demeurait un pestiféré ou encore un alien venu de la quatrième dimension. Bon d’accord, c’était ce qu’il était sous une autre apparence et dans un autre monde mais il n’arrivait pas réellement à cerner sa manière de l’éviter. Il finalement, il finit par hausser les épaules d’un air peu intéressé, puis déposa la queue du billard à sa place initiale avant de se diriger vers le comptoir du bar. « Certainement, pourquoi tu t’attardes sur elle tout d’un coup ? ». La blondinette soupira quelques agacée par la réponse de son camarade. « Franchement quelques choses ne vas pas chez toi ces temps ci ou quoi ? Tu passais pas mal de temps avec elle non ? ». « Tu sais ce que je pense des relations entre américain et norvégien, alors pas la peine d’en parler et le problème remonte au-delà d’une situation pareille. ». Bamby, hocha lentement le visage en se demandant pourquoi il en venait à parler de norvégien et américain. Dès lors, le Georgtown finit par émettre un rire discret et moqueur face à l’expression de sa voisine. Bien évidement il parlait des humains et des extraterrestres. Point de vue relationnelle mais également amoureux, ils demeuraient tous les deux sur la même longueur d’onde, que cela soit avec un petit homme vert ou encore pire avec un humain. Bonjour les dégâts. L’ange rigolard commanda alors deux boissons non alcoolisées connaissant déjà après expérience son effet par la suite. Il esquissa une légère œillade furtive vers la bibliothécaire qui le toisait également d’une manière un peu plus que mystérieuse. C’est en insistant un peu plus au travers de son regard profond, ce qu’elle avait découvert. Ce n’était qu’une hypothèse, mais peut être avait elle découvert une caractéristique étrange en provenance de son appartenance. « Tabasco sur les frites, c’est indéniable ce truc on ne pourrait s’en empêcher. ». La voix de sa meilleure amie le tira de sa réflexion intérieure et il reporta son attention sur elle, un fin sourire aux commissures des lèvres. Bras croisés sur le comptoir en bois de chêne, cela faisait quelques minutes qu’ils parlaient de tout et de rien comme d’habitude mais également des récentes recherches sur leurs cas. Rare demeurait les fois où ils en parlaient mais cela venait tout seul ces derniers jours. « Femme verte à trois heure. ». Avait-il murmuré à sa comparse de toujours alors qu’une jeune femme s’approchait d’eux. Il reprit son air impassible pour ne pas dire constant alors que Bamby se levait pour se rendre aux toilettes. « Tu m’excuse j’ai envie de vomir tout d’un coup. ». Ils échangèrent un sourire narquois, tandis que la brunette aux reflets rouquins prenait place à son coté. « Alors que nous vaut le plaisir de ta visite Isobel. ». Elle haussa les épaules avec une inconvenance de mauvaise politesse alors qu’elle buvait dans le verre du Georgtown. Ce dernier laissa échappait un rire dans un soupir, puis elle reprit d’un ton sérieux et malicieux. « Toi comme moi ce que nous avons à faire, ce à quoi nous sommes destinés Calvin. Tu ne pourras pas toujours mettre tes sentiments présents en avant. La preuve, ils s’occultent peu à peu. ». Avait-elle répondu tout en désignant d’un signe de tête celle qui peuplait en un sens ses pensées. Il n’aimait guère que l’on lise en lui comme dans un livre ouvert, mais le don de télépathie d’Isobel inversait la tendance dans une moindre mesure. Un léger rire froid s’échappa de la gorge de l’ange rigolard, qui se contenta de répliquer d’une voix glaciale et calme. « Attention Izzie, les rêves dans lesquels tu t’introduis ne sont pas toujours basé sur de la réalité. Prend conseil auprès de Platon et de ses écrits un de ces jours. ». Il rouvrit les paupières, et la contourna pour se diriger vers la sortie alors qu’elle le suivait d’un regard emplit de reproches. Les choses étaient toutes compliquées, tout comme les histoires humaines. Il était présent, il était absent. Il était silencieux, il était juste lui-même dans un désert froid où il ne manquait que la lumière.

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✘When i compliment her she won't believe me and it's so, sad to think that she don't see what i see.

Un mardi après midi comme tous les autres jours de la semaine. A la longue cela pouvait très certainement peser à chacun d’entre nous. Pour autant, le jeune professeur se contentait de dispenser ses cours toujours de la même manière, toujours avec la même humeur sociable qu’il dégageait. Ses élèves qu’ils demeurent féminin et masculin ont très rapidement remontés leurs moyennes, ce qui était l’un de ses buts premiers en tant qu’enseignant. Debout au milieu de sa salle de classe, il était entrain de rendre des copies qui a première ne pouvaient se passer de commentaires. « Si j’en juge la généralité de toutes vos copies, l’ensemble de la pensée de Shakespeare a été comprise, seulement vous n’allez pas assez en profondeur dans la manière de penser. Il faut que vous alliez au-delà des mots, et non vous contentez de rester en surface. ». Derechef, la sonnerie de la dernière de la matinée sonna pour indiquer la fin de cette longue journée de cours. Il avait quelques heures de libre devant lui, il pourrait en profiter pour se rendre à la bibliothèque rendre ses bouquins empruntés un peu plus tôt. « Bon, n’oubliez pas de lire le prochain chapitre c’est un conseil ! ». Avait-il dit un peu plus fortement pour que la masse des jeunes étudiants puisse l’entendre. Il esquissa un sourire narquois face à la situation. Il se revoyait encore à leur place, assis derrière son pupitre, le nez plongé dans ses lignes d’écritures qui tout de suite avait pris leurs sens. Alors qu’il rangeait ses affaires et qu’il portait son sac sur son épaule, il fut quelques peu surpris de croiser le chemin d’une jeune femme qui apparemment avoisinait très certainement son âge. « Excusez moi, je dois plutôt mal tomber à ce que je vois. Vous vous apprêtiez à partir ? ». Son interlocutrice lui présenta une moue sympathique et désolée tandis qu’il se contentait d’hocher doucement la tête tout en répliquant d’une voix sociable. « Oui, j’ai fini mes cours mais je peux peut être vous aider ? ». « Je suis le nouveau professeur de théâtre, et on m’a dit que vous pourriez peut être m’en dire un peu plus sur le déroulement du lycée. ». Alors comme ça c’était lui qu’on avait désigné pour faire le parfait guide touristique. Après tout, il valait peut être mieux quand on a connaissance du corps enseignants de Roswell, le club du troisième âge pourrait très certainement vous faire peur et vous ennuyer à force de nombreuses critiques dignes des blagues à carambars. Il lui tendit la main tout en la considérant d’un fin sourire au coin des lèvres. « Pas de problèmes. Je m’appelle Calvin. ». La jeune femme lui serra la main, un nouveau sourire accroché à son visage. « Teresa. ». Ils parlèrent ainsi durant quelques heures, que cela soit après la visite du lycée ou encore au retour de la ville. Calvin se questionnait sur cette nouvelle personne arrivée en ville et ce en cours d’année, non pas que cela soit rare mais il ne pouvait empêcher ces doutes de prendre le dessus, surtout avec les nouvelles qu’annonçait les informations un peu plus chaque jours. Bouquins dans la main droite, ils marchaient sur le trottoir qui longeait le restaurant ou beaucoup de touristes s’arrêtaient. « Alors comme ça vous êtes originaire de New York ? ». « Oui je pense que venir ici est une bonne chose pour laisser le passé derrière moi. C’est certainement stupide désolée. ». Elle passa une main dans ses cheveux, un léger sourire gêné sur son expression faciale. Calvin comprenait se sentiment même s’il trouvait que fuir son passé n’était pas réellement l’idéal pour avancer. Néanmoins il en comprenait tout à fait la démarche. « Ce n’est pas stupide, chacun fait de son mieux. Et puis je ne suis pas là pour juger. ». Machinalement son regard se tourna vers la vitre de la librairie de la ville, ce qui le ramena derechef au pourquoi il était venu en ville. Il s’excusa alors à son tour car il avait quelques affaires à régler, puis se dirigea vers la bibliothèque dont il poussa la porte principale quelques minutes plus tard. Ruby était en train de regarder l’écran de son ordinateur tandis qu’il déposait les livres sur le comptoir. L’encre des prunelles du jeune homme - généralement s’entend - étaient dépourvus d’émotions. Il avait un doute sur l’éloignement étrange de la jeune humaine qui ne lui adressait presque plus la parole ou même une marque de politesse. Dès lors, il avait respecté sa volonté non dite mais il en avait saisit la portée du message et le tout en silence. La blonde leva enfin le regard vers lui tout en le remerciant d’avoir rapporté les documents avant la date de retour. Il secoua péjorativement la tête avant de frôler la main de son amie, s’il pouvait encore la nommer ainsi. « Je ne sais pas ce que tu me reproches Ruby, mais ne ce n’est pas en te terrant dans un mur de silence que tu pourras avoir réponse à tes interrogations. ». Il avait dit cette parole d’une intonation à peine audible. En la toisant légèrement, il comprit tout de suite que cela avait un rapport avec sa nature primaire. Il n’en était pas réellement certain mais quelques choses lui indiquaient qu’il n’était pas loin du compte. Il voyait en la Williamson une personne emplit de beauté non avouée, il la voyait d’une certaine manière qui différait totalement des autres personnes. Elle avait un brin de mystère, qui la rendait attractive d’une certaine façon. Il récupéra sa carte, et poussa la porte du commerce sans pour autant observer de nouveau le plafond azuréen de ces yeux, non pas par crainte de la regarder de nouveau, mais par malchance de lire en celui-ci l’esquisse d’un monstre vert à trois yeux, et huit antennes sur la tête.

MA BLUE
je t'aime
merci d'avoir pris mon scénario.
Si tu as des questions je suis là !

je t'aime aussi mon loup
merci à toi d'avoir crée ce scénario d'éclair en espérant en être à la hauteur
pas de soucis (:

tu seras à la hauteur c'est certain.

Bienvenue, bonne chance pour ta fiche CALVIN ✘ i'm on the corner waiting for a light to come on. 585564

MA DIABOLIQUE AMOUR DE MA VIE

on va essayer mon loup
merci beaucoup Holly
Ma perséphone de ma vie il va nous falloir un lien

NON J'AI DECIDER DE PRIVEE TA VIE DE TOUT LIEN AVEC MOI.
Ouai bon jusqu'à demain matin :P.

diabolique :P

PAUL + TOI
Bienvenue et merci de ton inscription
Bonne continuation pour ta fiche

TOI AVEC MILA
merci beaucoup ma hilarious

je pense avoir fini ma fiche en espérant que cela convienne (:

J'adore
je te valide

merci beaucoup

» CALVIN ✘ born to be wild again.
» Cheyenne → i tear the sun in three to light up your eyes.