Tristan ~ Y a une époque où les filles étaient poing levé, aujourd'hui c'est plutôt culotte baissée

❝ Tristant Icare Beaufort ❞
FEAT. Luke Grimes

tumblr

Fume comme un pompier ▽ Adore rester dehors sous la pluie pour le plaisir ▽ Se cache souvent derrière ses livres ▽ Passe une main dans ses cheveux lorsqu'il se sent mal à l'aise ▽ Joue souvent avec l'ourlet de ses vêtements ▽ Porte souvent des breloques aux poignets ainsi qu'un collier composé d'objets lui rappelant ses plus beaux souvenirs ▽ Mange toujours comme trois ▽ Aime être seul pour pouvoir penser à voix haute ▽ A toujours son Ipod sur les oreilles ▽ Regarde le soleil se coucher et/ou se lever ▽ Adore la mécanique et s'occupe lui même de sa voiture et sa moto ▽ Ne comprend pas le monopole de l'argent et jette le sien par les fenêtres car il a toujours vécu avec ▽ Parle avec les yeux étant souvent a court de mot ▽ Lit sur les lèvres, ayant une ouïe très déficiente ▽

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❝ my name is bryan ? ❞
CARTE D'IDENTITÉ, A TOUJOURS AVOIR AVEC SOIS EN CAS DE CONTRÔLE.

❝ NOM/PRÉNOMS ❞ : Beaufort Tristan Icare. ❝ SURNOMS ❞ : . ❝ AGE ❞ : 22 ans. ❝ DATE ET LIEU DE NAISSANCE ❞ : 14/12/89 Roswell. ❝ ORIGINE/NATIONALITÉ ❞ : Irlandais et Grecque. ❝ MÉTIER ❞ : Etudiant en architecture. ❝ ÉTAT CIVIL❞ : Célibataire. ❝ GROUPE ❞ : Only Human.

et toi tu crois au extraterrestre ? Puis quoi encore ? E.T. va débarqué avec toutes sa famille dans mon jardin ? Non, pour moi ce mythe a été inventé afin que l'homme se sente moins seul. Afin qu'il puisse tranquillement se pourrir persuadé qu'ailleurs une ou des civilisations plus évolue pourraient faire ce qu'ils sont incapable de faire. et le neuf juillet mille neuf cent quarante sept à ton avis c'est quoi qui est tombé du ciel ? Un nouveau prototype d'appareil militaire. Encore un de ces trucs que l'armée tente de nous cacher. si les extraterrestres existaient tu réagirais comment ? Je ne sais pas. Tu as déjà imaginé ce qui se passerait si tu devenait un canard ? Non, bah voila ta réponse.

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❝ it's a story about ❞
L'HISTOIRE D'HOMME, L'HISTOIRE D'UNE FEMME, L'HISTOIRE D'UN HOMME ET D'UNE FEMME.

I'm hangin on the edge of the world
I'm clutching to a string
And my life is crumbling down

"Tristan Icare Beaufort, venez ici tout de suite si vous ne désirez pas que je dise à monsieur Beaufort ce que vous faites lorsque vous disparaissez des heures durant !" L'enfant pendu la tête en bas, toisant du haut de ses septs ans sa gouvernante, c'est bel et bien moi. Les cheveux ébouriffé, le regard pur, le coeur perdu dans des rêves irréalisable, c'était moi avec la fraîcheur, la candeur de celui qui croit avoir vécu. Descendant de mon haut perchoir en un bon, je fais signe a la dame âgée de la soixantaine bien entamé que je ne l'entendais pas. En effet, j'avais horreur de porté ces appareils auditif hors de prix sensé me faire entendre le monde. A l'époque je préférais le silence. J'aimais les couleurs et la nature dans toutes sa splendeur. Courrant dans le jardin, j'étais habitué à ce que ma gouvernante trépigne alors que je faisais de mon mieux pour la faire tourner en bourrique. J'étais habitué à Enola. Habitué à ses sourires fatigué et à ses longues discussions avec mes parents. Non, pas de papa ni de maman. Il s'agissait de ma mère et de mon père. Monsieur et Madame Beaufort. Riche héritier de la fortune familial venant de l'héritage irlandais ainsi qu'un peu d'argent venant de mes grands parents italien. Je n'étais pas un vilain garçon, j'aimais à courir dehors pour me dépenser, a rire jusqu'à en pleurer. Cependant, pas d'effusion face à mes parents. Face à eux je devais travailler, être l'enfant comme il faut sans me soucier de ces plaisirs futiles et inutiles du commun des mortels. Si nous faisions partie du commun des mortels je n'aurais pas eu autant de privilège. Mais si j'avais fait partie du commun des mortels j'aurais eu de vrai parents et pas seulement l'ombre de personne dont les meilleurs souvenirs que j'avais dataient de mon enfance lorsque penché au dessus de mon lit ils prenaient encore le temps de me raconter des histoires. Courrant à travers le jardin, je vis ma gouvernante retiré ses gants de jardinage avant de prendre une mine soucieuse et sérieuse alors qu'elle posait ses mains sur ses hanches. Je savais ce que ça signifiait. Ma dernière chance pour une possible reddition, mais Elona savait déjà tout autant que moi que je ne me rendrais jamais. Courrant, toujours plus vite, toujours plus loin je fuyais ma vie, je fuyais ce parfum. Cette fragrance de jasmin et de lilas qui me rappelait trop cette étouffement constant que je ressentais à longueur de journée à force d'être enfermé dans cette prison dorée. J'étais un enfant calme, silencieux et intelligent. Vif d'esprit j'étonnais mes précepteurs, car je n'allais pas à l'école, j'étudiais à la maison. J'étais la fierté de mes parents qui ne manquaient pas de m'exhiber partout dans leur voyage. Paris, Milan, Washington, Chicago. J'en ai porté des costumes hors de prix, mais voila, a la vérité, même s'ils voulaient bien faire, mes parents ont juste réussit à tout raté.
C'est à bout de souffle que je me suis écrouler dans l'herbe sous un radieux soleil d'été. J'aimais sentir ses rayons me réchauffer, mais je préférais la pluie, son contact grisant et sa nature puissante. Il ne fallut pas longtemps à Elona pour m'atteindre. Se plaçant face à moi, j'ouvris les yeux une fois le soleil disparu derrière sa carrure imposante. " Monsieur Tristan vous ne devriez pas faire ainsi le sot, ce n'est pas digne d'une personne de votre rang. Puis regardez ce que vous avez fait votre t-shirt est tout sale." Un léger sourire aux lèvres calmes et serein je répondis tout en me redressant : " Et bien, ce n'est pas dramatique, il suffira de le nettoyer ou de le jeter... S'il vous plait, encore quelques instants madame. J'aimerais profité d'un après midi sans fin." Un léger sourire se dessina sur les lèvres de ma gouvernante avant qu'elle ne dise quelque mots que je n'entendis pas mais que je pu lire sur ses lèvres.


Les années passent, elles nous changent, les liens qui nous unissent se font, se défont. Les gens changent, s'améliore, progresse ou bien régresse. Cependant je n'avais pas changé. Je venais d'entrer dans l'adolescence et mon désir de confronter le monde croissait. Installer dans ma chambre un livre en version originale d'un auteur français dans les mains, je traduisais pour moi les vers que je lisais. J'aimais la solitude, passé des heures caché dans mon sanctuaire loin du monde de sa différence avec le mien. Je voulais le confronter mais j'avais peur. Je ne connaissais rien aux rapport humains. Je n'avais pas d'amis autres que mes livres et mes jeux. Je ne sortais jamais ou en compagnie de ma gouvernante, comment aurais-je bien pu comprendre ou connaître quoique ce soit du vrai monde? De la vrai vie dans Roswell autre que celle que je voyais derrière les grandes haies de notre jardin. Et encore, notre maison était bien loin du centre. Moi j'étais l'enfant sans visage, celui qu'on connaissait de nom mais qu'on avait jamais rencontré. Abandonnant ma traduction, buttant sur des mots trop compliqué , je posais mon livre sur mon front tout en soupirant et en fermant mes yeux pour souffler. Nous étions en fin d'après midi, le soleil n'allait pas tarder à ce coucher et comme à mon habitude j'allais aller m'installé dans la véranda pour admirer ce spectacle. C'était sans compter sur la venue impromptue de ma mère dans ma chambre. Elle eu beau toqué à ma porte, je n'entendis rien. C'est seulement lorsqu'elle se mit à me caresser les cheveux avec douceur et tendresse que je remarquais sa présence. Ma mère était une de ces forces douce de la nature. Presque incapable d'exprimer ses sentiments, j'aurais aimé qu'elle me montre plus souvent ce qu'elle ressentait. Mais aujourd'hui encore ce n'est pas le cas. Je me souviens juste de cette après midi là qu'elle avait fermé le bouquin le déposant sur ma table de chevet avant de m'embrasser sur le front. Je m'étais alors laisser envouté par ses yeux d'un bras chocolaté troublant avant de la suivre en silence sous la véranda. Sans un mot, nous sommes resté des heures là, a regarder l'horizon abandonné le jour pour se recouvrir du voile troublant et piquant de la nuit. C'est Enola qui vint nous arraché à nos rêveries partagé annonçant que le repas était prêt.

17 ans. Qu'est-ce qu'on peut être ignorant à cet âge là. Bête, inutile et inintéressant. J'étais pas un gamin comme les autres enfant, vêtu de Dolce & Gabana, d'Armani et de Gucci. J'étais pas un adolescent normal à dix sept ans. Ça semblait normale. C'était logique. Habillé d'une chemise hors de prix faite par Karl Lagerfeld lui même. Mon jean coûtant certainement tout autant je me retrouvais à la bibliothèque municipale persuadé que personne de mon âge ne se trouverait. J'avais un peu peur de rencontrer des jeunes de mon âge, j'avais dit à Enola que je voulais me faire des amis, mais maintenant que j'étais dehors j'avais une seule envie, rentrer chez moi pour retrouver ces lieux qui m'étaient connu. Mon jardin où je pourrais me réfugier et m'éloigner de ces autres qui me faisaient peur. Ce fût vers 19heures que je sortis de la bibliothèque un livre sur la mécanique à la main pour m'occuper du dernier cadeau de noël que j'avais reçu. Une superbe moto rouge et noir. Une fois le livre dans ma voiture, je m'apprêtais à rentrer lorsqu'une jeune femme blonde et son amie brune vinrent m'abordée. " Bonsoir tu peux nous amener au bar de la ville ? On s'est perdu et on a des amis qui nous attendent." Déglutissant avec difficulté, j'attrapais un bord de ma chemise pour jouer avec avant de répondre difficilement : " Euh... oui... Oui bien sur." La belle c'était alors approché de moin déposant son doigt sur ma chemise tout en m'offrant un sourire éblouissant, elle se retourna alors vers son amie qui montait déjà dans ma voiture disant :"Il est trop chou, puis sexy... je l'ai jamais vu dans le coin."
Je leur servit de chauffeur avant de me retrouver à boire avec elle. Une fois que je réussis à m'excuser pour retourner chez moi, c'est éméché et titubant que je suis sortit du bar. C'est éméché et titubant que je me suis fait agresser, voler ma chemise, mon portefeuille et mes papiers avant d'être tabasser et laisser pour compte juste à côté de l'établissement. Moi qui désirais tant me confronter au monde et à la réalité, voila que je rencontrais le monde de plein fouet et à vrai dire ça faisait mal, très mal.

Le temps a passé. J'ai 22 ans désormais. Je vois mon père une fois tous les deux moi quand j'ai de la chance. Ma mère n'est pas très présente non plus. Je suis seul avec ma gouvernante dans notre grande maison. Je sors désormais, cependant je n'ai pas réussis à retirer l'étiquette qu'on m'a accolé il deux ou trois ans de cela. Je suis le bourge, je suis le prude. Le différent. Celui qui n'arrive pas à comprendre ce monde et qui préfère l'ancien. Qui parle étrangement et aime des choses bizarre. J'ai quand même su m'intégrer, même si on ne me comprend pas toujours. J'étudie l'architecture afin de reprendre le flambeau de la société d'un de mes oncles, ou quelque chose comme ça. Il est prévu qu'on me la lègue étant le dernier héritier de ma famille. J'aime bien mes études, même si c'est fort simple et que la littérature m'intéressait plus. Je n'ai pas vraiment eu le choix, c'était prévu d'avance pour moi. J'ai 22 ans, je vis à Roswell, dans une petite ville connue pour des histoires invraisemblables dans lesquelles je n'ai jamais cru. Je suis différent, j'ai enfin des amis et j'ai finalement réussit à entrer dans ce monde qui m'intriguait tant. Le futur est derrière ma porte, il ne me reste plus qu'à savoir ce qu'il m'apportera.

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❝ behind the screen ❞
ET EN VRAIS TU ES QUI ? HOMME/FEMME/BLOND/BRUN/ROUX?.

Spoiler:

LUKE LUKE LUKE
En plus je t'aime deux fois plus on a le même prénom
En tout cas BIENVENUE